Français (France) Construit au XVIIe siècle, ce sanctuaire était situé à l’écart du village.
Il fut probablement érigé pour obtenir la clémence du ciel au début de la guerre de Trente Ans, époque où la peste et la famine sévissaient cruellement. L’inscription gravée en façade va dans ce sens :
« Maria Mater Gracia –Ora pro nobis - 1633 »
A son origine, la chapelle avait des dimensions plus importantes. En effet, elle a perdu 3 à 4 mètres de long lorsque le chemin qui la bordait est devenu une rue plus fréquentée (rue des Jardins Fleuris). Une crypte fut même remblayée à cette époque.
La chapelle Sainte-Anne était propriété de la famille d’Orlan de Polignac. Intégrée à l’école Notre-Dame dirigée par les sœurs Saint- Charles, devenue lycée professionnel, elle est désormais propriété communale.
La tradition rapporte qu’Anne de Mercy de France, habitant en ces lieux et rentrant chez elle un soir, aurait été poursuivie par des brigands. Pressant le pas, elle implora la protection de sa sainte patronne et promit de lui élever une chapelle si elle parvenait à rentrer chez elle saine et sauve.
Son vœu fut exaucé : les brigands firent brusquement demi-tour. Et Anne tint sa promesse.
Sources : « Pompey sous l’avant-garde » de Louis Geindre ;
«La Chapelle Ste Anne » de Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, n°3)
Site culturel
a pour style architectural
Français (France) Renaissance
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La classification de POI. Par exemple : festival, musée, chambre d’hôtes...
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Français (France) CHAPELLE SAINTE ANNE
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Français (France) Renaissance
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Allemand (Allemagne) Jahrhundert erbaut und befand sich außerhalb des Dorfes.
Er wurde wahrscheinlich errichtet, um zu Beginn des Dreißigjährigen Krieges, als Pest und Hungersnot grausam wüteten, die Gnade des Himmels zu erlangen. Die in die Fassade eingemeißelte Inschrift deutet in diese Richtung:
"Maria Mater Gracia -Ora pro nobis - 1633"
Ursprünglich hatte die Kapelle größere Ausmaße. Tatsächlich verlor sie 3 bis 4 Meter an Länge, als der Weg, der an sie grenzte, zu einer stärker befahrenen Straße wurde (Rue des Jardins Fleuris). Zu dieser Zeit wurde sogar eine Krypta aufgeschüttet.
Die Kapelle Sainte-Anne war im Besitz der Familie d'Orlan de Polignac. Sie wurde in die von den Schwestern Saint-Charles geleitete Schule Notre-Dame integriert, die später zum berufsbildenden Gymnasium wurde, und ist heute Gemeindeeigentum.
Der Überlieferung nach wurde Anne de Mercy von Frankreich, die hier wohnte, eines Abends auf dem Heimweg von Räubern verfolgt. Sie bat ihre Schutzpatronin um Schutz und versprach, ihr eine Kapelle zu errichten, wenn sie sicher nach Hause gelangte.
Ihr Wunsch wurde erfüllt: Die Räuber kehrten plötzlich um. Und Anne hielt ihr Versprechen.
Quellen: "Pompey sous l'avant-garde" von Louis Geindre ;
"La Chapelle Ste Anne" von Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, Nr. 3)
Er wurde wahrscheinlich errichtet, um zu Beginn des Dreißigjährigen Krieges, als Pest und Hungersnot grausam wüteten, die Gnade des Himmels zu erlangen. Die in die Fassade eingemeißelte Inschrift deutet in diese Richtung:
"Maria Mater Gracia -Ora pro nobis - 1633"
Ursprünglich hatte die Kapelle größere Ausmaße. Tatsächlich verlor sie 3 bis 4 Meter an Länge, als der Weg, der an sie grenzte, zu einer stärker befahrenen Straße wurde (Rue des Jardins Fleuris). Zu dieser Zeit wurde sogar eine Krypta aufgeschüttet.
Die Kapelle Sainte-Anne war im Besitz der Familie d'Orlan de Polignac. Sie wurde in die von den Schwestern Saint-Charles geleitete Schule Notre-Dame integriert, die später zum berufsbildenden Gymnasium wurde, und ist heute Gemeindeeigentum.
Der Überlieferung nach wurde Anne de Mercy von Frankreich, die hier wohnte, eines Abends auf dem Heimweg von Räubern verfolgt. Sie bat ihre Schutzpatronin um Schutz und versprach, ihr eine Kapelle zu errichten, wenn sie sicher nach Hause gelangte.
Ihr Wunsch wurde erfüllt: Die Räuber kehrten plötzlich um. Und Anne hielt ihr Versprechen.
Quellen: "Pompey sous l'avant-garde" von Louis Geindre ;
"La Chapelle Ste Anne" von Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, Nr. 3)
Italien (Italie) Costruito nel XVII secolo, questo santuario si trovava lontano dal villaggio.
Fu probabilmente costruita per ottenere la clemenza del cielo all'inizio della Guerra dei Trent'anni, quando la peste e la carestia dilagavano. L'iscrizione sulla facciata del santuario lo suggerisce:
"Maria Mater Gracia - Ora pro nobis - 1633
In origine la cappella era molto più grande. In effetti, ha perso 3-4 metri di lunghezza quando la strada che la costeggiava è diventata una via più frequentata (Rue des Jardins Fleuris). All'epoca fu persino riempita una cripta.
La cappella Sainte-Anne era di proprietà della famiglia d'Orlan de Polignac. Faceva parte della scuola Notre-Dame gestita dalle Suore di San Carlo, che è diventata una scuola superiore professionale e ora è di proprietà comunale.
La tradizione vuole che Anna di Misericordia di Francia, che viveva in questo luogo e che una sera tornava a casa, sia stata inseguita dai briganti. Affrettandosi, implorò la protezione del suo santo patrono e promise di costruirle una cappella se fosse riuscita a tornare a casa sana e salva.
Il suo desiderio fu esaudito: i ladri tornarono improvvisamente indietro. E Anne mantenne la sua promessa.
Fonti: "Pompeo sotto l'avanguardia" di Louis Geindre;
"La Chapelle Ste Anne" di Maurice Noël (Pompeo, Bollettino comunale, 1971, n°3)
Fu probabilmente costruita per ottenere la clemenza del cielo all'inizio della Guerra dei Trent'anni, quando la peste e la carestia dilagavano. L'iscrizione sulla facciata del santuario lo suggerisce:
"Maria Mater Gracia - Ora pro nobis - 1633
In origine la cappella era molto più grande. In effetti, ha perso 3-4 metri di lunghezza quando la strada che la costeggiava è diventata una via più frequentata (Rue des Jardins Fleuris). All'epoca fu persino riempita una cripta.
La cappella Sainte-Anne era di proprietà della famiglia d'Orlan de Polignac. Faceva parte della scuola Notre-Dame gestita dalle Suore di San Carlo, che è diventata una scuola superiore professionale e ora è di proprietà comunale.
La tradizione vuole che Anna di Misericordia di Francia, che viveva in questo luogo e che una sera tornava a casa, sia stata inseguita dai briganti. Affrettandosi, implorò la protezione del suo santo patrono e promise di costruirle una cappella se fosse riuscita a tornare a casa sana e salva.
Il suo desiderio fu esaudito: i ladri tornarono improvvisamente indietro. E Anne mantenne la sua promessa.
Fonti: "Pompeo sotto l'avanguardia" di Louis Geindre;
"La Chapelle Ste Anne" di Maurice Noël (Pompeo, Bollettino comunale, 1971, n°3)
Anglais Built in the 17th century, this sanctuary was located away from the village.
It was probably built to obtain the clemency of heaven at the beginning of the Thirty Years' War, a time when plague and famine were rampant. The inscription engraved on the facade of the shrine supports this idea:
"Maria Mater Gracia -Ora pro nobis - 1633"
Originally, the chapel had larger dimensions. In fact, it lost 3 to 4 meters in length when the road that bordered it became a more frequented street (rue des Jardins Fleuris). A crypt was even filled in at that time.
The Sainte-Anne chapel was owned by the d'Orlan de Polignac family. It was part of the Notre-Dame school run by the Saint Charles sisters, which became a vocational high school, and is now communal property.
According to tradition, Anne de Mercy of France, living in this place and returning home one evening, was pursued by brigands. Pressing her steps, she implored the protection of her patron saint and promised to build her a chapel if she managed to return home safely.
Her wish was granted: the robbers suddenly turned back. And Anne kept her promise.
Sources : " Pompey under the vanguard " by Louis Geindre ;
"La Chapelle Ste Anne" by Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, n°3)
It was probably built to obtain the clemency of heaven at the beginning of the Thirty Years' War, a time when plague and famine were rampant. The inscription engraved on the facade of the shrine supports this idea:
"Maria Mater Gracia -Ora pro nobis - 1633"
Originally, the chapel had larger dimensions. In fact, it lost 3 to 4 meters in length when the road that bordered it became a more frequented street (rue des Jardins Fleuris). A crypt was even filled in at that time.
The Sainte-Anne chapel was owned by the d'Orlan de Polignac family. It was part of the Notre-Dame school run by the Saint Charles sisters, which became a vocational high school, and is now communal property.
According to tradition, Anne de Mercy of France, living in this place and returning home one evening, was pursued by brigands. Pressing her steps, she implored the protection of her patron saint and promised to build her a chapel if she managed to return home safely.
Her wish was granted: the robbers suddenly turned back. And Anne kept her promise.
Sources : " Pompey under the vanguard " by Louis Geindre ;
"La Chapelle Ste Anne" by Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, n°3)
Néerlandais (Pays-Bas) Dit heiligdom werd gebouwd in de 17e eeuw en lag buiten het dorp.
Het werd waarschijnlijk gebouwd om hemelse clementie te verkrijgen aan het begin van de Dertigjarige Oorlog, toen pest en hongersnood welig tierden. De inscriptie op de voorkant van het heiligdom suggereert dit:
"Maria Mater Gracia - Ora pro nobis - 1633
De kapel was oorspronkelijk veel groter. In feite verloor het 3 tot 4 meter in lengte toen de weg die eraan grensde een drukkere straat werd (Rue des Jardins Fleuris). Er werd toen zelfs een crypte ingevuld.
De Sainte-Anne kapel was eigendom van de familie d'Orlan de Polignac. Het maakte deel uit van de Notre-Dame school van de Zusters van Sint Charles, die een middelbare beroepsschool werd, en is nu gemeenschappelijk bezit.
Volgens de overlevering werd Anne de Mercy van Frankrijk, die in deze plaats woonde en op een avond naar huis terugkeerde, achtervolgd door rovers. Haastig smeekte ze om de bescherming van haar patroonheilige en beloofde haar een kapel te bouwen als ze veilig thuis zou komen.
Haar wens werd vervuld: de rovers keerden plotseling om. En Anne hield haar belofte.
Bronnen: "Pompeius onder de avant-garde" door Louis Geindre;
"La Chapelle Ste Anne" van Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, n°3)
Het werd waarschijnlijk gebouwd om hemelse clementie te verkrijgen aan het begin van de Dertigjarige Oorlog, toen pest en hongersnood welig tierden. De inscriptie op de voorkant van het heiligdom suggereert dit:
"Maria Mater Gracia - Ora pro nobis - 1633
De kapel was oorspronkelijk veel groter. In feite verloor het 3 tot 4 meter in lengte toen de weg die eraan grensde een drukkere straat werd (Rue des Jardins Fleuris). Er werd toen zelfs een crypte ingevuld.
De Sainte-Anne kapel was eigendom van de familie d'Orlan de Polignac. Het maakte deel uit van de Notre-Dame school van de Zusters van Sint Charles, die een middelbare beroepsschool werd, en is nu gemeenschappelijk bezit.
Volgens de overlevering werd Anne de Mercy van Frankrijk, die in deze plaats woonde en op een avond naar huis terugkeerde, achtervolgd door rovers. Haastig smeekte ze om de bescherming van haar patroonheilige en beloofde haar een kapel te bouwen als ze veilig thuis zou komen.
Haar wens werd vervuld: de rovers keerden plotseling om. En Anne hield haar belofte.
Bronnen: "Pompeius onder de avant-garde" door Louis Geindre;
"La Chapelle Ste Anne" van Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, n°3)
Espagnol Construido en el siglo XVII, este santuario se encontraba alejado del pueblo.
Probablemente se construyó para obtener la clemencia celestial al comienzo de la Guerra de los Treinta Años, cuando la peste y el hambre eran constantes. La inscripción de la fachada del santuario así lo sugiere:
"Maria Mater Gracia" - Ora pro nobis - 1633
La capilla era originalmente mucho más grande. De hecho, perdió entre 3 y 4 metros de longitud cuando la carretera que lo bordeaba se convirtió en una calle más frecuentada (Rue des Jardins Fleuris). Incluso se rellenó una cripta en ese momento.
La capilla Sainte-Anne era propiedad de la familia d'Orlan de Polignac. Formaba parte de la escuela de Notre-Dame dirigida por las Hermanas de San Carlos, que se convirtió en un instituto de formación profesional, y ahora es propiedad comunal.
Según la tradición, Ana de la Merced de Francia, que vivía aquí y volvía a su casa una noche, fue perseguida por unos bandidos. Apresurándose, imploró la protección de su patrona y prometió construirle una capilla si conseguía volver a casa sana y salva.
Su deseo se cumplió: los ladrones se volvieron de repente. Y Ana cumplió su promesa.
Fuentes: "Pompeyo bajo la vanguardia" de Louis Geindre;
"La Chapelle Ste Anne" de Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, n°3)
Probablemente se construyó para obtener la clemencia celestial al comienzo de la Guerra de los Treinta Años, cuando la peste y el hambre eran constantes. La inscripción de la fachada del santuario así lo sugiere:
"Maria Mater Gracia" - Ora pro nobis - 1633
La capilla era originalmente mucho más grande. De hecho, perdió entre 3 y 4 metros de longitud cuando la carretera que lo bordeaba se convirtió en una calle más frecuentada (Rue des Jardins Fleuris). Incluso se rellenó una cripta en ese momento.
La capilla Sainte-Anne era propiedad de la familia d'Orlan de Polignac. Formaba parte de la escuela de Notre-Dame dirigida por las Hermanas de San Carlos, que se convirtió en un instituto de formación profesional, y ahora es propiedad comunal.
Según la tradición, Ana de la Merced de Francia, que vivía aquí y volvía a su casa una noche, fue perseguida por unos bandidos. Apresurándose, imploró la protección de su patrona y prometió construirle una capilla si conseguía volver a casa sana y salva.
Su deseo se cumplió: los ladrones se volvieron de repente. Y Ana cumplió su promesa.
Fuentes: "Pompeyo bajo la vanguardia" de Louis Geindre;
"La Chapelle Ste Anne" de Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, n°3)
Français (France) Construit au XVIIe siècle, ce sanctuaire était situé à l’écart du village.
Il fut probablement érigé pour obtenir la clémence du ciel au début de la guerre de Trente Ans, époque où la peste et la famine sévissaient cruellement. L’inscription gravée en façade va dans ce sens :
« Maria Mater Gracia –Ora pro nobis - 1633 »
A son origine, la chapelle avait des dimensions plus importantes. En effet, elle a perdu 3 à 4 mètres de long lorsque le chemin qui la bordait est devenu une rue plus fréquentée (rue des Jardins Fleuris). Une crypte fut même remblayée à cette époque.
La chapelle Sainte-Anne était propriété de la famille d’Orlan de Polignac. Intégrée à l’école Notre-Dame dirigée par les sœurs Saint- Charles, devenue lycée professionnel, elle est désormais propriété communale.
La tradition rapporte qu’Anne de Mercy de France, habitant en ces lieux et rentrant chez elle un soir, aurait été poursuivie par des brigands. Pressant le pas, elle implora la protection de sa sainte patronne et promit de lui élever une chapelle si elle parvenait à rentrer chez elle saine et sauve.
Son vœu fut exaucé : les brigands firent brusquement demi-tour. Et Anne tint sa promesse.
Sources : « Pompey sous l’avant-garde » de Louis Geindre ;
«La Chapelle Ste Anne » de Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, n°3)
Il fut probablement érigé pour obtenir la clémence du ciel au début de la guerre de Trente Ans, époque où la peste et la famine sévissaient cruellement. L’inscription gravée en façade va dans ce sens :
« Maria Mater Gracia –Ora pro nobis - 1633 »
A son origine, la chapelle avait des dimensions plus importantes. En effet, elle a perdu 3 à 4 mètres de long lorsque le chemin qui la bordait est devenu une rue plus fréquentée (rue des Jardins Fleuris). Une crypte fut même remblayée à cette époque.
La chapelle Sainte-Anne était propriété de la famille d’Orlan de Polignac. Intégrée à l’école Notre-Dame dirigée par les sœurs Saint- Charles, devenue lycée professionnel, elle est désormais propriété communale.
La tradition rapporte qu’Anne de Mercy de France, habitant en ces lieux et rentrant chez elle un soir, aurait été poursuivie par des brigands. Pressant le pas, elle implora la protection de sa sainte patronne et promit de lui élever une chapelle si elle parvenait à rentrer chez elle saine et sauve.
Son vœu fut exaucé : les brigands firent brusquement demi-tour. Et Anne tint sa promesse.
Sources : « Pompey sous l’avant-garde » de Louis Geindre ;
«La Chapelle Ste Anne » de Maurice Noël (Pompey, Bulletin municipal, 1971, n°3)
Date de dernière mise à jour dans DATAtourisme (aaaa-mm-jjThh:mm:ss) - Ne pas aligner merci
2024-04-03T04:07:38.644Z
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https://www.datatourisme.fr/ontology/core#hasTranslatedProperty
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