Français (France) Installés depuis 1850 le long du chemin de Popey, le cimetière civil et son voisin militaire sont le reflet de l’histoire de la ville. Les tombes qu’ils conservent gardent en mémoire le passé des habitants. Certaines d’entre elles, du fait de leur forte valeur artistique, sont protégées au titre des Monuments Historiques.
A Caturiges, comme partout dans l’Empire romain, les morts étaient ensevelis à l’extérieur du bourg, le long des routes. Au Moyen Âge, c’est à proximité de la seule église paroissiale de la ville – Notre-Dame – qu’est créé le « grand cimetière ». Seules les communautés religieuses et la famille ducale n’y sont pas enterrées. Une chapelle des morts est fondée en 1649 afin de recueillir les ossements, libérer de la place et éviter les épidémies. Néanmoins, par manque de place et par souci d’hygiène, le cimetière est désaffecté en 1813 et déplacé plus à
l’Est au lieu-dit « Les Chènevières ». Dans l’ancien enclos ne reste que la chapelle de la famille Oudinot, construite en 1810. Mais dès 1849, les travaux liés à l’arrivée du chemin de fer dans la cité obligent les édiles à envisager un nouveau déplacement du cimetière.
En 1850 est donc créé l’actuel cimetière Sainte-Marguerite dont le portail d’entrée est orné de symboles funéraires (sabliers). En 1857, la veuve du Maréchal Oudinot fait déplacer le caveau familial dans le nouveau cimetière. Les tombes présentent un large éventail de la sculpture funéraire des XIXe et XXe siècles. De la chapelle néogothique ornée de vitraux au monument romantique où le recours à l’allégorie met en exergue les valeurs du défunt, ces sépultures évoquent une période florissante de l’histoire de la cité barisienne. Signées Caveneget ou Auguste François, elles sont l’occasion de commandes à des artistes reconnus dans le département.
Dès les premiers mois de 1915, la proximité du front de l’Est et la présence de six hôpitaux militaires
dans la ville nécessitent la création d’un cimetière militaire spécifique. Celui-ci est accolé au cimetière civil et accueillera jusqu’à cinq mille soldats. Les croix blanches ornées d’une plaque métallique identifiant le défunt s’organisent autour d’un monument commémoratif inauguré en 1927 par Raymond Poincaré, alors président du Conseil. Quelques sépultures aux formes différentes évoquent les soldats appartenant à d’autres religions. Existe également à Bar-le-Duc un cimetière juif créé en 1832 non loin de l’actuelle rue de Maestricht.
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In Caturiges wurden die Toten, wie überall im Römischen Reich, außerhalb des Ortes an den Straßen beigesetzt. Im Mittelalter wurde in der Nähe der einzigen Pfarrkirche der Stadt - Notre-Dame - der "große Friedhof" angelegt. Nur religiöse Gemeinschaften und die Herzogsfamilie werden dort nicht beerdigt. Eine Totenkapelle wurde 1649 gegründet, um die Gebeine zu sammeln, Platz zu schaffen und Epidemien zu verhindern. Aus Platzmangel und aus hygienischen Gründen wurde der Friedhof jedoch 1813 stillgelegt und weiter nach Osten verlegt
nach Osten an den Ort "Les Chènevières" verlegt. In der alten Einfriedung blieb nur die 1810 erbaute Kapelle der Familie Oudinot erhalten. Ab 1849 zwangen die Arbeiten im Zusammenhang mit der Ankunft der Eisenbahn in der Stadt die Stadtväter jedoch dazu, eine weitere Verlegung des Friedhofs in Betracht zu ziehen.
Im Jahr 1850 wurde der heutige Friedhof Sainte-Marguerite angelegt, dessen Eingangsportal mit Grabsymbolen (Sanduhren) geschmückt ist. 1857 ließ die Witwe von Marschall Oudinot die Familiengruft auf den neuen Friedhof verlegen. Die Gräber zeigen ein breites Spektrum der Grabskulptur des 19. und 20. Jahrhunderts. Von der neugotischen Kapelle mit Buntglasfenstern bis hin zum romantischen Denkmal, bei dem die Werte des Verstorbenen durch die Verwendung von Allegorien hervorgehoben werden, erinnern diese Gräber an eine Blütezeit in der Geschichte der Stadt Barisienne. Sie trugen die Handschrift von Caveneget oder Auguste François und waren Anlass für Aufträge an Künstler, die in der Region bekannt waren.
Ab den ersten Monaten des Jahres 1915 führten die Nähe der Ostfront und die Anwesenheit von sechs Militärkrankenhäusern
in der Stadt die Einrichtung eines speziellen Militärfriedhofs erforderlich. Dieser wurde an den zivilen Friedhof angebaut und beherbergte bis zu 5.000 Soldaten. Die weißen Kreuze mit einer Metallplatte, die den Verstorbenen identifiziert, sind um ein 1927 von Raymond Poincaré, dem damaligen Ratspräsidenten, eingeweihtes Denkmal angeordnet. Einige Gräber mit unterschiedlichen Formen erinnern an Soldaten, die anderen Religionen angehörten. In Bar-le-Duc gab es auch einen jüdischen Friedhof, der 1832 in der Nähe der heutigen Rue de Maestricht angelegt wurde.
A Caturiges, comme partout dans l’Empire romain, les morts étaient ensevelis à l’extérieur du bourg, le long des routes. Au Moyen Âge, c’est à proximité de la seule église paroissiale de la ville – Notre-Dame – qu’est créé le « grand cimetière ». Seules les communautés religieuses et la famille ducale n’y sont pas enterrées. Une chapelle des morts est fondée en 1649 afin de recueillir les ossements, libérer de la place et éviter les épidémies. Néanmoins, par manque de place et par souci d’hygiène, le cimetière est désaffecté en 1813 et déplacé plus à
l’Est au lieu-dit « Les Chènevières ». Dans l’ancien enclos ne reste que la chapelle de la famille Oudinot, construite en 1810. Mais dès 1849, les travaux liés à l’arrivée du chemin de fer dans la cité obligent les édiles à envisager un nouveau déplacement du cimetière.
En 1850 est donc créé l’actuel cimetière Sainte-Marguerite dont le portail d’entrée est orné de symboles funéraires (sabliers). En 1857, la veuve du Maréchal Oudinot fait déplacer le caveau familial dans le nouveau cimetière. Les tombes présentent un large éventail de la sculpture funéraire des XIXe et XXe siècles. De la chapelle néogothique ornée de vitraux au monument romantique où le recours à l’allégorie met en exergue les valeurs du défunt, ces sépultures évoquent une période florissante de l’histoire de la cité barisienne. Signées Caveneget ou Auguste François, elles sont l’occasion de commandes à des artistes reconnus dans le département.
Dès les premiers mois de 1915, la proximité du front de l’Est et la présence de six hôpitaux militaires
dans la ville nécessitent la création d’un cimetière militaire spécifique. Celui-ci est accolé au cimetière civil et accueillera jusqu’à cinq mille soldats. Les croix blanches ornées d’une plaque métallique identifiant le défunt s’organisent autour d’un monument commémoratif inauguré en 1927 par Raymond Poincaré, alors président du Conseil. Quelques sépultures aux formes différentes évoquent les soldats appartenant à d’autres religions. Existe également à Bar-le-Duc un cimetière juif créé en 1832 non loin de l’actuelle rue de Maestricht.
In Caturiges, as everywhere in the Roman Empire, the dead were buried outside the town, along the roads. In the Middle Ages, it is near the only parish church of the town - Notre-Dame - that the "great cemetery" was created. Only the religious communities and the ducal family are not buried there. A chapel for the dead was founded in 1649 in order to collect bones, free up space and prevent epidemics. However, due to lack of space and for reasons of hygiene, the cemetery was disused in 1813 and moved to a new location more than a year later
the East at the place called "Les Chènevières". In the old enclosure only remains the chapel of the Oudinot family, built in 1810. But from 1849, the work related to the arrival of the railway in the city forced the councillors to consider a new move of the cemetery.
In 1850, the present Sainte-Marguerite cemetery was created, the entrance gate of which is decorated with funerary symbols (hourglasses). In 1857, the widow of Marshal Oudinot had the family vault moved to the new cemetery. The tombs display a wide range of 19th and 20th century funerary sculpture. From the neo-Gothic chapel decorated with stained glass windows to the Romantic monument where the use of allegory highlights the values of the deceased, these tombs evoke a flourishing period in the history of the Barisian city. Signed Caveneget or Auguste François, they are the occasion for commissions to artists recognized in the department.
From the first months of 1915, the proximity of the Eastern front and the presence of six military hospitals
in the city require the creation of a specific military cemetery. This is adjacent to the civil cemetery and will house up to five thousand soldiers. The white crosses decorated with a metal plaque identifying the deceased are organized around a commemorative monument inaugurated in 1927 by Raymond Poincaré, then President of the Council. Some graves with different shapes evoke soldiers belonging to other religions. There is also a Jewish cemetery in Bar-le-Duc, created in 1832 not far from the present Rue de Maestricht.
A Caturiges, come in tutto l'Impero Romano, i morti venivano sepolti fuori dalla città, lungo le strade. Nel Medioevo era vicino all'unica chiesa parrocchiale della città? Notre-Dame? che è stato creato il "grande cimitero". Solo le comunità religiose e la famiglia ducale non vi furono sepolte. Nel 1649 fu fondata una cappella per i morti per raccogliere le ossa, liberare spazio e prevenire le epidemie. Tuttavia, a causa della mancanza di spazio e di problemi igienici, il cimitero fu dismesso nel 1813 e spostato più a est nel luogo noto come
a est, in una località chiamata "Les Chènevières". Dell'antico recinto rimane solo la cappella della famiglia Oudinot, costruita nel 1810. Tuttavia, nel 1849, i lavori legati all'arrivo della ferrovia in città costrinsero i consiglieri comunali a considerare un nuovo spostamento del cimitero.
Nel 1850 fu creato l'attuale cimitero di Sainte-Marguerite, con il cancello d'ingresso decorato con simboli funerari (clessidre). Nel 1857, la vedova del maresciallo Oudinot fece trasferire la tomba di famiglia nel nuovo cimitero. Le tombe presentano un'ampia gamma di sculture funerarie del XIX e XX secolo. Dalla cappella neogotica decorata con vetrate al monumento romantico in cui l'uso dell'allegoria sottolinea i valori del defunto, queste tombe evocano un periodo fiorente della storia della città di Baris. Firmati da Caveneget o da Auguste François, sono l'occasione per commissioni ad artisti riconosciuti nel dipartimento.
Nei primi mesi del 1915, la vicinanza del Fronte Orientale e la presenza di sei ospedali militari in città
nella città ha richiesto la creazione di un cimitero militare specifico. Era adiacente al cimitero civile e ospitava fino a cinquemila soldati. Le croci bianche con una targa metallica che identifica i defunti sono disposte attorno a un monumento inaugurato nel 1927 da Raymond Poincaré, allora Presidente del Consiglio. Alcune tombe di forma diversa sono dedicate a soldati di altre religioni. Esiste anche un cimitero ebraico a Bar-le-Duc, istituito nel 1832 non lontano dall'attuale rue de Maestricht.
In Caturiges, zoals overal in het Romeinse Rijk, werden de doden buiten de stad begraven, langs de wegen. In de middeleeuwen werd het "grote kerkhof" aangelegd bij de enige parochiekerk van de stad, Notre-Dame. Alleen de religieuze gemeenschappen en de hertogelijke familie werden er niet begraven. In 1649 werd een dodenkapel opgericht om de beenderen te verzamelen, ruimte vrij te maken en epidemieën te voorkomen. Wegens ruimtegebrek en hygiënische redenen werd de begraafplaats in 1813 echter niet meer gebruikt en verplaatst naar het oosten, naar de plaats die bekend staat als
naar het oosten naar een plaats genaamd "Les Chènevières". Van de oude omheining bleef alleen de kapel van de familie Oudinot over, gebouwd in 1810. Maar in 1849 dwongen de werken in verband met de komst van de spoorweg in de stad de gemeenteraadsleden om te overwegen de begraafplaats opnieuw te verplaatsen.
In 1850 werd de huidige begraafplaats Sainte-Marguerite aangelegd, met de toegangspoort versierd met grafsymbolen (zandlopers). In 1857 liet de weduwe van maarschalk Oudinot de familiegrafkelder overbrengen naar de nieuwe begraafplaats. De graven tonen een breed scala aan 19e en 20e eeuwse grafsculptuur. Van de neogotische kapel versierd met gebrandschilderde ramen tot het romantische monument waar het gebruik van allegorieën de waarden van de overledene benadrukt, roepen deze graven een bloeiperiode in de geschiedenis van de stad Baris op. Getekend Caveneget of Auguste François, werden ze besteld bij kunstenaars die goed bekend stonden in het departement.
In de eerste maanden van 1915 betekende de nabijheid van het Oostfront en de aanwezigheid van zes militaire ziekenhuizen in de stad dat..
in de stad vereiste de aanleg van een specifieke militaire begraafplaats. Deze lag naast de civiele begraafplaats en zou tot vijfduizend soldaten herbergen. De witte kruisen, versierd met een metalen plaatje ter identificatie van de overledenen, staan rond een herdenkingsmonument dat in 1927 werd ingehuldigd door Raymond Poincaré, de toenmalige voorzitter van de Raad. Enkele graven met verschillende vormen herinneren aan soldaten die tot andere religies behoren. Bar-le-Duc heeft ook een in 1832 aangelegde joodse begraafplaats, niet ver van de huidige Maestrichtstraat.
En Caturiges, como en todo el Imperio Romano, los muertos eran enterrados fuera de la ciudad, a lo largo de los caminos. En la Edad Media, estaba cerca de la única iglesia parroquial de la ciudad ? Notre-Dame? que se creó el "gran cementerio". Sólo las comunidades religiosas y la familia ducal no fueron enterradas allí. En 1649 se fundó una capilla para los muertos con el fin de recoger los huesos, liberar espacio y prevenir epidemias. Sin embargo, debido a la falta de espacio y a problemas de higiene, el cementerio quedó en desuso en 1813 y se trasladó más al este, al lugar conocido como
al este en un lugar llamado "Les Chènevières". Lo único que queda en el antiguo recinto es la capilla de la familia Oudinot, construida en 1810. Sin embargo, en 1849, las obras relacionadas con la llegada del ferrocarril a la ciudad obligaron a los concejales a plantearse de nuevo el traslado del cementerio.
En 1850 se creó el actual cementerio de Sainte-Marguerite, cuya puerta de entrada está decorada con símbolos funerarios (relojes de arena). En 1857, la viuda del mariscal Oudinot hizo trasladar el panteón familiar al nuevo cementerio. Las tumbas muestran una amplia gama de escultura funeraria de los siglos XIX y XX. Desde la capilla neogótica decorada con vidrieras hasta el monumento romántico en el que el uso de la alegoría resalta los valores del difunto, estas tumbas evocan un periodo floreciente de la historia de la ciudad de Baris. Firmados por Caveneget o Auguste François, son la ocasión de encargos a artistas reconocidos en el departamento.
En los primeros meses de 1915, la proximidad del Frente Oriental y la presencia de seis hospitales militares en la ciudad
en la ciudad requirió la creación de un cementerio militar específico. Estaba adosado al cementerio civil y albergaba hasta cinco mil soldados. Las cruces blancas con una placa metálica que identifica a los fallecidos están dispuestas alrededor de un monumento inaugurado en 1927 por Raymond Poincaré, entonces presidente del Consejo. Algunas tumbas con formas diferentes están dedicadas a soldados de otras religiones. También hay un cementerio judío en Bar-le-Duc, establecido en 1832, no lejos de la actual calle de Maestricht.
Autres propriétés (non décrites ou non classées)
http://www.w3.org/2002/07/owl#topObjectProperty
https://www.datatourisme.fr/ontology/core#hasTranslatedProperty