. . . . . . "Chanter les silences comme la d\u00E9fiance. De ceux qui s'abandonnent, pour ne pas se r\u00E9signer. Chanter comme ils dansent, comme ils partent, sans jamais se destiner. \"Un petit bijou dans un clair obscur de \"t\u00E9k\u00E9\" (caf\u00E9 des r\u00E9b\u00E8tes)\". De \"dire\" en \"destin\", c'est dans la voix de Kalliroi Raouzeou que se rencontrent la m\u00E9lancolie, et la libert\u00E9 celles qui relie le Fado (\"fatum\" - destin) au Rebetiko (\"rebetis\" - celui qui n'ob\u00E9it qu'\u00E0 sa propre loi) - deux genres musicaux m\u00E9diterran\u00E9ens n\u00E9s de la marginalit\u00E9 et du d\u00E9sir d'ailleurs. \n\nOriginaire d'Asie mineure, Kalliroi puise dans ses influences musicales comme dans la po\u00E9sie populaire de son pays pour tisser ce lien entres deux peuples qui racontent la m\u00EAme histoire. Celle de l'exil et d'un sentiment de manque et de nostalgie d\u00E9licieuse (\"saudade\" et \"k\u00E9fi\"), dans lequel le pass\u00E9 ne vit plus qu'au pr\u00E9sent. \n\nC'est sous les doigts d'un quartet d'artistes aux horizons crois\u00E9s, que s'incarne ce \"blues de m\u00E9diterran\u00E9e\", transform\u00E9 par la sensibilit\u00E9 et la cr\u00E9ativit\u00E9 de ses musiciens issus de cultures musicales riches et vari\u00E9es."@fr . "Kalliroi et le Fado Rebetiko - Blues m\u00E9diterran\u00E9en"@fr . "13EVT110333" .