. . . . . . . . "Argan r\u00E8gne sur une cour de m\u00E9decins m\u00E9cr\u00E9ants et ignorants qui abusent de ses faiblesses. \n\nP\u00E8re tyrannique, hypocondriaque f\u00E2cheux, obnubil\u00E9 par ses n\u00E9vroses, il souhaite marier sa fille Ang\u00E9lique au neveu de Monsieur Purgon, son fid\u00E8le m\u00E9decin traitant. Mais celle-ci, amoureuse du jeune Cl\u00E9ante, lui r\u00E9siste au risque d'\u00EAtre envoy\u00E9e au couvent. L'odieuse mar\u00E2tre B\u00E9line ne fait qu'attiser le conflit. Il faudra l'opini\u00E2tret\u00E9 et les ruses de la servante Toinette pour que les masques tombent\u0085. \u00C9crite par un Moli\u00E8re affaibli, sa derni\u00E8re pi\u00E8ce est cependant une de ses plus brillantes com\u00E9dies - comme s'il avait rassembl\u00E9 toutes les ressources de son g\u00E9nie pour parvenir au sommet de son art. \n\nUn spectacle intemporel !\n\nDe Claude Stratz\nLes com\u00E9diens de la troupe de la Com\u00E9die-Fran\u00E7aise et les com\u00E9diens de l'Acad\u00E9mie de la Com\u00E9die-Fran\u00E7aise\nDur\u00E9e : 2h20"@fr . "Le Malade imaginaire - Com\u00E9die Fran\u00E7aise au Cin\u00E9ma"@fr . "13EVT107330" .