. . . . . . "La Cie Parcelle 112 pr\u00E9sente \"La Passe\" au Th\u00E9\u00E2tre du Bois de l'Aune .\n\nLe corps, le regard, l'intime. Laurence et Camille sont com\u00E9diennes. Catherine T. est prostitu\u00E9e. Sur le fil tendu de leurs r\u00E9cits m\u00EAl\u00E9s se d\u00E9ploie un monde secret. Toutes trois, de g\u00E9n\u00E9rations diff\u00E9rentes, \u00E0 la sc\u00E8ne ou dans la rue, ont travaill\u00E9 avec leurs corps. Ces arch\u00E9types de femmes publiques incarnent la trinit\u00E9 ali\u00E9n\u00E9e de la prostitu\u00E9e : m\u00E8re, vierge et putain. \n\nLe corps comme outil de travail. Le corps expos\u00E9, observ\u00E9, jug\u00E9, rejet\u00E9, fascin\u00E9. La Passe de Vanessa Larr\u00E9 explore la condition \"d'\u00EAtre femme\" \u00E0 travers les r\u00E9cits de prostitu\u00E9es et d'actrices rencontr\u00E9es au cours d'une longue recherche documentaire. Un travail d'enqu\u00EAte men\u00E9 aupr\u00E8s de femmes exer\u00E7ant des m\u00E9tiers qui impliquent leur corps et l'exhibition. Le r\u00E9cit est tiss\u00E9 d'une constellation de personnages et d'histoires, comme autant de tentatives de dire la multiplicit\u00E9 des \u00E9changes, des \u00E9tats, des destin\u00E9es. Quitter le m\u00E9tier, accepter de vieillir, ne plus se soumettre \u00E0 ce qui blesse, incarner une nouvelle vie.\n\n\u25B6 Texte et mise en sc\u00E8ne : Vanessa Larr\u00E9 \n\u25B6 Avec Cl\u00E9a Laiz\u00E9, Laurence Mayor, Catherine T."@fr . "La passe"@fr . "13EVT109042" .