Français (France) Après le succès de son dernier album, Crazy Horse, Mathias Duplessy et ses acolytes reviennent avec Brothers Of Strings, un album toujours plus audacieux et créatif, composé de voyages imaginaires... Ici, un boléro lancinant aux épices d’Asie (Texas Boléro), là, une valse lente aux effluves Japonaise (A Japanese in Paris), un jazz manouche chinois (Chinese Dumplings) ou un hommage à Bruce Lee (Kung-Fu)... Cet opus est complètement euphorisant, un véritable feu d’artifice de couleurs et d’énergie. La Guitare de Mathias vogue avec grâce et aisance dans tous les registres, enrobe et soutient les trois vielles qui s’entremêlent et se détache toujours harmonieusement. Le Vielle mongole d’Epi a souvent des accents de Gibson saturée, rock ou blues, tandis que le Erhu sensuel de Guo Gan s’aventure avec délice dans des improvisations
« Grapeliennes » ou orientales. Le Nyckelharpa d’Aliocha, toujours d’une grande élégance tant au niveau des ornements que de la dynamique nous impressionne dans la reprise « Brothers In Arms » de Dire Straits, un des joyaux de l’album. L’autre reprise de l’album est une version déjantée du « Bon, la Brute et le Truand » de Morricone. On est plongé dans une chevauchée entre Western et Mongolie où la voix hallucinante d’Epi (qui couvre quasiment 4 octaves) nous fait littéralement décoller.
• Guitare, chant : Mathias Duplessy
• Vièle chinoise « erhu », chant : Guo Gan
• Vièle scandinave « nyckelharpa », chant : Aliocha Regnard
• Vièle mongole « morin khuur », chant diphonique : Enkhjargal Dandarvaanchig « Epi »
« Cet album s’écoute comme on regarderait défiler à l’écran de grands espaces. Une musique d’une sublime poésie. » Télérama
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"Grapeliaanse" of oosterse improvisaties. Alyosha's Nyckelharpa, altijd elegant in zijn versieringen en dynamiek, maakt indruk in de cover van Dire Straits' 'Brothers In Arms', een van de juweeltjes van het album. De andere cover van het album is een waanzinnige versie van Morricone's 'The Good, the Bad and the Ugly'. We worden ondergedompeld in een rit tussen West- en Mongolië waar de hallucinerende stem van Epi (die bijna 4 octaven beslaat) ons letterlijk doet opstijgen.
- Gitaar, zang: Mathias Duplessy
- Chinese viool "erhu", zang: Guo Gan
- Scandinavische viool "nyckelharpa", zang: Aliocha Regnard
- Mongoolse viool "morin khuur", tweeklankzang: Enkhjargal Dandarvaanchig "Epi
"Dit album kan worden beluisterd alsof men op een scherm enorme ruimtes voorbij ziet komen. Een muziek van sublieme poëzie Télérama
"Grapelian" or oriental improvisations. Alyosha's Nyckelharpa, always very elegant in its ornaments and dynamics, impresses us in the cover of Dire Straits' "Brothers In Arms", one of the jewels of the album. The other cover of the album is a crazy version of Morricone's "The Good, the Bad and the Ugly". We are plunged into a ride between Western and Mongolia where Epi's hallucinating voice (which covers almost 4 octaves) literally makes us take off.
- Guitar, vocals : Mathias Duplessy
- Chinese fiddle "erhu", vocals: Guo Gan
- Scandinavian fiddle " nyckelharpa ", vocals : Aliocha Regnard
- Mongolian fiddle " morin khuur ", diphonic singing : Enkhjargal Dandarvaanchig " Epi
"This album can be listened to as if one were watching large spaces scroll by on the screen. A music of sublime poetry Télérama
improvvisazioni "grapeliane" o orientali. La Nyckelharpa di Alyosha, sempre elegante nelle sue ornamentazioni e dinamiche, ci colpisce nella cover di "Brothers In Arms" dei Dire Straits, una delle gemme dell'album. L'altra copertina dell'album è una folle versione di "The Good, the Bad and the Ugly" di Morricone. Siamo immersi in una cavalcata tra Occidente e Mongolia dove la voce allucinata di Epi (che copre quasi 4 ottave) ci fa letteralmente decollare.
? Chitarra, voce : Mathias Duplessy
? Violino cinese "erhu", voce: Guo Gan
? Violino scandinavo "nyckelharpa", voce: Aliocha Regnard
? Violino mongolo "morin khuur", canto difonico: Enkhjargal Dandarvaanchig "Epi
"Questo album può essere ascoltato come se si stesse guardando i grandi spazi aperti su uno schermo. Una musica di sublime poesia Télérama
"Grapelian" o improvisaciones orientales. La Nyckelharpa de Alyosha, siempre elegante en su ornamentación y dinámica, nos impresiona en la versión de "Brothers In Arms" de Dire Straits, una de las joyas del álbum. La otra portada del disco es una loca versión de 'El bueno, el malo y el feo' de Morricone. Nos sumergimos en un viaje entre el Oeste y Mongolia en el que la alucinante voz de Epi (que abarca casi 4 octavas) nos hace volar literalmente.
? Guitarra, voz : Mathias Duplessy
? Violín chino "erhu", voz: Guo Gan
? Violín escandinavo " nyckelharpa ", voz : Aliocha Regnard
? Violín mongol "morin khuur", canto difónico: Enkhjargal Dandarvaanchig "Epi
"Este álbum se puede escuchar como si uno estuviera viendo la naturaleza en una pantalla. Una música de poesía sublime Télérama
" Grapeliennes " oder orientalischen Klängen. Aljoschas Nyckelharpa, immer von großer Eleganz, sowohl was die Verzierungen als auch die Dynamik betrifft, beeindruckt uns in der Coverversion "Brothers In Arms" von Dire Straits, einem der Juwelen des Albums. Die andere Coverversion des Albums ist eine verrückte Version von Morricones "Bon, la Brute et le Truand". Man wird in einen Ritt zwischen Western und Mongolei geworfen, bei dem Epis halluzinierende Stimme (die fast vier Oktaven umfasst) einen förmlich abheben lässt.
- Gitarre, Gesang : Mathias Duplessy
- Chinesische Geige "erhu", Gesang: Guo Gan
- Skandinavische Geige "Nyckelharpa", Gesang : Aljoscha Regnard
- Mongolische Geige "morin khuur", diphonischer Gesang: Enkhjargal Dandarvaanchig "Epi"
"Dieses Album hört man sich an, als würde man auf der Leinwand große Räume vorbeiziehen sehen. Eine Musik von erhabener Poesie" Télérama
« Grapeliennes » ou orientales. Le Nyckelharpa d’Aliocha, toujours d’une grande élégance tant au niveau des ornements que de la dynamique nous impressionne dans la reprise « Brothers In Arms » de Dire Straits, un des joyaux de l’album. L’autre reprise de l’album est une version déjantée du « Bon, la Brute et le Truand » de Morricone. On est plongé dans une chevauchée entre Western et Mongolie où la voix hallucinante d’Epi (qui couvre quasiment 4 octaves) nous fait littéralement décoller.
• Guitare, chant : Mathias Duplessy
• Vièle chinoise « erhu », chant : Guo Gan
• Vièle scandinave « nyckelharpa », chant : Aliocha Regnard
• Vièle mongole « morin khuur », chant diphonique : Enkhjargal Dandarvaanchig « Epi »
« Cet album s’écoute comme on regarderait défiler à l’écran de grands espaces. Une musique d’une sublime poésie. » Télérama