Français (France) SPECTACLE ANNULÉ ET REPORTÉ A LA SAISON 2021/2022
Textes de Raymond Devos
Avec François Morel et Antoine Sahler, en alternance avec Romain Lemire
François Morel enfile humblement son smoking noir façon music-hall et redonne vie aux textes de Raymond Devos.
La Truite, Caen, L’Ouïe de l’oie, Mon chien c’est quelqu’un, quoique, Je hais les haies, Le plaisir des sens... François Morel se réapproprie avec toute la poésie qui lui est propre quelques-uns des plus inoubliables sketchs de son idole. Il jongle avec ses mots, dont certains sont mis en musique par son compère Antoine Sahler, triture son grain de folie, joue avec ses obsessions. Autant d’histoires toujours prêtes à enrayer la mécanique bien huilée de la logique pour nous entraîner vers un imaginaire absurde, toujours drôle et parfois étrangement inquiétant.
Point d'intérêt
Identifiant de la ressource chez le producteur.
Etiquette courte décrivant la ressource.
La classification de POI. Par exemple : festival, musée, chambre d’hôtes...
Description de la ressource.
Directed by François Morel
Music by Antoine Sahler
With François Morel and Antoine Sahler, alternating with Romain Lemire
Duration : 1h30
François Morel humbly donned his black tuxedo in a music-hall style and brought Raymond Devos' lyrics to life.
La Truite, Caen, L'Ouïe de l'oie, Mon chien c'est quelqu'un, quoique, Je hais les haies, Le plaisir des sens? François Morel reappropriates with all his own poetry some of his idol's most unforgettable sketches. He juggles with his words, some of which are set to music by his accomplice Antoine Sahler, triturates his madness, plays with his obsessions. So many stories always ready to stop the well-oiled mechanics of logic to lead us to an absurd imagination, always funny and sometimes strangely disturbing.
Textes de Raymond Devos
Avec François Morel et Antoine Sahler, en alternance avec Romain Lemire
François Morel enfile humblement son smoking noir façon music-hall et redonne vie aux textes de Raymond Devos.
La Truite, Caen, L’Ouïe de l’oie, Mon chien c’est quelqu’un, quoique, Je hais les haies, Le plaisir des sens... François Morel se réapproprie avec toute la poésie qui lui est propre quelques-uns des plus inoubliables sketchs de son idole. Il jongle avec ses mots, dont certains sont mis en musique par son compère Antoine Sahler, triture son grain de folie, joue avec ses obsessions. Autant d’histoires toujours prêtes à enrayer la mécanique bien huilée de la logique pour nous entraîner vers un imaginaire absurde, toujours drôle et parfois étrangement inquiétant.