Français (France) - Spectacle initialement prévu le 10 novembre 2020 et reporté au 16 février 2021 à 20h -
De Mathilda May
Musique d’Ibrahim Maalouf
Avec Pierre Richard
Durée : 1h10
Un homme, un « monsieur tout le monde » probablement retraité, vit seul dans les hauteurs d’un immeuble. Si son monde est isolé, il n’en est pas moins peuplé de rêves. Dans un dialogue entre le réel et l’illusion, la routine d’un quotidien apparemment bien ordonné, se désarticule. Le monde extérieur semble s’acharner à le ramener dans le concret, tandis qu’autour de lui, tout prend vie. Inspiré, il peint l’objet de son désir et l’ordinaire continue sa métamorphose. La tête dans les nuages, il voit l’invisible, l’abstrait et l’infini. Un mélange s’opère, redéfinissant les frontières entre le réalisme et l’absurde.
Mathilda May
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Etiquette courte décrivant la ressource.
La classification de POI. Par exemple : festival, musée, chambre d’hôtes...
Description de la ressource.
By Mathilda May
Music by Ibrahim Maalouf
With Pierre Richard
Duration: 1h10
A man, a "gentleman", probably retired, lives alone in the heights of a building. His world may be isolated, but it is nonetheless filled with dreams. In a dialogue between reality and illusion, the routine of a seemingly well-ordered daily life is disarticulated. The outside world seems to be trying hard to bring him back to the concrete, while everything around him comes to life. Inspired, he paints the object of his desire and the ordinary continues its metamorphosis. With his head in the clouds, he sees the invisible, the abstract and the infinite. A mixture takes place, redefining the boundaries between realism and the absurd.
Mathilda May
De Mathilda May
Musique d’Ibrahim Maalouf
Avec Pierre Richard
Durée : 1h10
Un homme, un « monsieur tout le monde » probablement retraité, vit seul dans les hauteurs d’un immeuble. Si son monde est isolé, il n’en est pas moins peuplé de rêves. Dans un dialogue entre le réel et l’illusion, la routine d’un quotidien apparemment bien ordonné, se désarticule. Le monde extérieur semble s’acharner à le ramener dans le concret, tandis qu’autour de lui, tout prend vie. Inspiré, il peint l’objet de son désir et l’ordinaire continue sa métamorphose. La tête dans les nuages, il voit l’invisible, l’abstrait et l’infini. Un mélange s’opère, redéfinissant les frontières entre le réalisme et l’absurde.
Mathilda May