"2021-01-22T01:20:13.966Z"^^ . . . . . . . . . . . . . "Dans un lotissement de province, un homme tente de surmonter la mort de sa femme et d\u2019e\u0301lever seul leurs deux enfants. Retranche\u0301 derrie\u0300re ses cannisses, il observe ses voisins : un couple et leur petite fille. Une famille unie, en bonne sante\u0301, qui vit avec insouciance et le\u0301ge\u0300rete\u0301 dans un pavillon semblable au sien. Des gens heureux. Pourquoi eux et pas lui ?\nA\u0300 quoi c\u0327a tient, le bonheur ? A\u0300 presque rien. A\u0300 un fil. A\u0300 l\u2019emplacement d\u2019une maison. A\u0300 un nume\u0301ro sur la fac\u0327ade. Peut-e\u0302tre. Ce qui est su\u0302r, c\u2019est qu\u2019une simple rue, parfois, se\u0301pare la raison de la folie. Il su t de la traverser pour que tout bascule.\nAvec Cannisses, l\u2019auteur nous entrai\u0302ne, doucement mais ine\u0301luctablement, dans le re\u0301cit de la douleur ordinaire. Et de l\u2019horreur absolue."@fr . "In a provincial subdivision, a man is trying to get over the death of his wife and raise their two children alone. Tucked behind his canisses, he watches his neighbours: a couple and their little girl. A united, healthy family living carefree and light-hearted in a house similar to his own. Happy people. Why them and not him?\nWhat's the meaning of happiness? Almost nothing. A thread. The location of a house. A number on the facade. Maybe it is. What's certain is that sometimes a simple street separates reason from madness. He knew how to cross it to make the whole thing fall apart.\nWith Cannisses, the author draws us, gently but inevitably, into the story of ordinary pain. And absolute horror."@en . "Espace Dantza - Th\u00E9\u00E2tre: Cannisses"@en . "Espace Dantza - Th\u00E9\u00E2tre: Cannisses"@fr . "FMAAQU064V5AQF2H" .