Français (France) Grave et léger comme une chanson de variétés
« J’avais six ans, onze mois et vingt jours quand Michel Berger est mort, terrassé par une crise cardiaque dans sa villa de Ramatuelle, après une partie de tennis. C’était le 2 août 1992, je passais mes vacances dans une maison à quelques mètres de la sienne », raconte Solal Bouloudnine. Pour lui, cet événement a marqué la fin de l’innocence. Alors comme ça, on pouvait disparaître d’un coup, sans prévenir, être fauché dans la « fleur de l’âge » ? Vingt-huit ans plus tard, le jeune comédien exorcise son angoisse de mort dans un seul-en-scène excessivement drôle. De l’histoire de sa conception, doctement expliquée avec un schéma, à sa famille aussi aimante qu’écrasante, de ses amours de cour d’école à sa découverte du plaisir du jeu d’acteur, il tire un spectacle universel – comme toutes les histoires très personnelles - sur le difficile métier de grandir. Avec Michel B. en guest star, bien sûr.
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Description de la ressource.
"I was six years, eleven months and twenty days old when Michel Berger died of a heart attack in his villa in Ramatuelle, after a game of tennis. It was August 2, 1992, I was spending my holidays in a house a few meters away from his," Solal Bouloudnine recounts. For him, this event marked the end of innocence. So you could suddenly disappear, without warning, be cut down in the "prime of life"? Twenty-eight years later, the young actor exorcises his anguish of death in a single, excessively funny performance. From the story of his conception, explained with a diagram, to his family as loving as it is overwhelming, from his schoolyard romances to his discovery of the pleasure of acting, he draws a universal show - like all very personal stories - about the difficult job of growing up. With Michel B. as guest star, of course.
« J’avais six ans, onze mois et vingt jours quand Michel Berger est mort, terrassé par une crise cardiaque dans sa villa de Ramatuelle, après une partie de tennis. C’était le 2 août 1992, je passais mes vacances dans une maison à quelques mètres de la sienne », raconte Solal Bouloudnine. Pour lui, cet événement a marqué la fin de l’innocence. Alors comme ça, on pouvait disparaître d’un coup, sans prévenir, être fauché dans la « fleur de l’âge » ? Vingt-huit ans plus tard, le jeune comédien exorcise son angoisse de mort dans un seul-en-scène excessivement drôle. De l’histoire de sa conception, doctement expliquée avec un schéma, à sa famille aussi aimante qu’écrasante, de ses amours de cour d’école à sa découverte du plaisir du jeu d’acteur, il tire un spectacle universel – comme toutes les histoires très personnelles - sur le difficile métier de grandir. Avec Michel B. en guest star, bien sûr.