Français (France) 100 ans, ça se fête ! Pour célébrer son anniversaire, l’Opéra national de Lorraine met à l’affiche Sigurd d’Ernest Reyer, l’opéra présenté lors de son inauguration le 14 octobre 1919. Un hommage symbolique fort de la scène lyrique nancéienne à son héritage.
Opéra en version de concert, créé au Théâtre de la Monnaie, Bruxelles, le 7 janvier 1884
Créé à Nancy le 14 octobre 1919 pour l’inauguration du nouveau théâtre (actuel opéra)
Durée
3h30 + entractes
Chanté en français, surtitré
Au-delà de la belle histoire, ce sera l’occasion de découvrir une véritable pépite musicale, très rarement donnée depuis sa création au théâtre de la Monnaie à Bruxelles en 1884, puis ses quelque 250 représentations à l’Opéra de Paris jusque dans les années 1930.
Comme Wagner dans sa Tétralogie, Reyer puise dans la mythologie nordique – la Chanson des Nibelungen et les Eddas –, pour conter les aventures de Sigurd et Brunehilde. Empruntant aux mêmes sources, les livrets comportent des similitudes mais également de profondes disparités, notamment l’importance accordée au surnaturel. Quant à la partition, Reyer s’inscrit dans la tradition du grand opéra français, loin de l’influence du maître allemand.
Sous la baguette énergique de Frédéric Chaslin, l’ouvrage résonnera pour la seconde fois au cœur du Palais Hornecker, ouvrant un nouveau siècle de créations artistiques.
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Description de la ressource.
Opéra en version de concert, créé au Théâtre de la Monnaie, Bruxelles, le 7 janvier 1884
Créé à Nancy le 14 octobre 1919 pour l’inauguration du nouveau théâtre (actuel opéra)
Durée
3h30 + entractes
Chanté en français, surtitré
Au-delà de la belle histoire, ce sera l’occasion de découvrir une véritable pépite musicale, très rarement donnée depuis sa création au théâtre de la Monnaie à Bruxelles en 1884, puis ses quelque 250 représentations à l’Opéra de Paris jusque dans les années 1930.
Comme Wagner dans sa Tétralogie, Reyer puise dans la mythologie nordique – la Chanson des Nibelungen et les Eddas –, pour conter les aventures de Sigurd et Brunehilde. Empruntant aux mêmes sources, les livrets comportent des similitudes mais également de profondes disparités, notamment l’importance accordée au surnaturel. Quant à la partition, Reyer s’inscrit dans la tradition du grand opéra français, loin de l’influence du maître allemand.
Sous la baguette énergique de Frédéric Chaslin, l’ouvrage résonnera pour la seconde fois au cœur du Palais Hornecker, ouvrant un nouveau siècle de créations artistiques.