Français (France) La Maison Ligier Richier, située 7 rue Haute des Fosses à Saint-Mihiel est considérée comme celle acquise par le sculpteur sammiellois Ligier Richier en 1535. Il y vivra jusqu'en 1564, date de son départ à Genève*.
Lors des travaux de restauration entamés en 2012, la découverte de passages de portes murés avec la maison mitoyenne (n°5 rue Haute des Fosses) tend à établir que l’actuelle maison dite Ligier Richier était vraisemblablement la « belle pièce » d’une demeure plus vaste à l’époque de la Renaissance.
Vers 1750 l'abbé Dom Calmet en séjour à Saint-Mihiel rapporte qu'à l'intérieur s’y trouvait une magnifique cheminée, le grand manteau de celle-ci (classée M.H) est maintenant visible à la mairie de Han sur Meuse.
Aujourd'hui subsiste le plafond (env. 50 m²) constitué de poutres massives et solives trilobées en chêne, de caissons à pendentifs et d'entretoises en terre cuite réalisés à partir de moules.
Le décor à fleurons des caissons est inspiré de l'Antiquité romaine : un rapprochement stylistique peut être fait avec les motifs de décoration de la cuirasse du centurion et du tombeau du Sépulcre (Eglise Saint Etienne à Saint-Mihiel).
Ce plafond en terre cuite du début XVIe siècle est le seul exemple recensé à ce jour en Europe. Il est attribué à Ligier Richier bien qu'il n'y ait aucune preuve formelle. C'est un des rares témoignages de la décoration d'une belle demeure civile de la Renaissance, les témoignages parvenus jusqu'à nous étant essentiellement ceux des bâtiments nobles ou ecclésiaux.
Le plafond a subi l'épreuve d'un démontage en 1918, d'un transfert à Metz puis au Louvre, et d'un remontage en 1921, date de son classement Monuments Historiques.
Les différents traitements qui lui ont été infligés depuis l’époque de la Renaissance (badigeons, peintures), l’encrassement important dû à l’utilisation des cheminées et des poêles à charbon, le constat de nombreux éléments fissurés voire manquants, nécessiteraient aujourd’hui une restauration approfondie.
De ce lieu unique Catherine Sidrot, l’actuelle propriétaire, souhaite faire un espace de travail et d'exposition orienté vers la photographie." Visites possibles en dehors des Journées du Patrimoine.
Contact : Office de tourisme
*Références - Charles Souhaut 1883 – Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 et depuis l’ensemble des parutions relatives à Ligier Richier
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Français (France) MAISON LIGIER RICHIER
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Anglais The Ligier Richier House, located at 7 rue Haute des Fosses in Saint-Mihiel, is considered to be the one acquired by the Sammiellan sculptor Ligier Richier in 1535. He lived there until 1564, when he left for Geneva*.
During the restoration work begun in 2012, the discovery of walled doorways with the adjoining house (n°5 rue Haute des Fosses) tends to establish that the current house known as Ligier Richier was probably the "beautiful room" of a larger residence during the Renaissance period.
Around 1750, the abbot Dom Calmet, who was staying in Saint-Mihiel, reported that there was a magnificent fireplace inside, the large mantle of which (classified as a historical monument) can now be seen in the town hall of Han sur Meuse.
Today, the ceiling (approx. 50 m²) remains, made up of massive oak beams and trilobed joists, pendant caissons and terracotta struts made from moulds.
The fleuron decoration of the caissons is inspired by Roman Antiquity: a stylistic comparison can be made with the decorative motifs of the centurion's breastplate and the tomb of the Sepulchre (Saint Etienne Church in Saint-Mihiel).
This early 16th century terracotta ceiling is the only example known to date in Europe. It is attributed to Ligier Richier although there is no formal proof. It is one of the rare testimonies of the decoration of a beautiful civil residence of the Renaissance, the testimonies that have come down to us being mainly those of noble or ecclesiastical buildings.
The ceiling was dismantled in 1918, transferred to Metz and then to the Louvre, and reassembled in 1921, when it was classified as a Historic Monument.
The various treatments it has undergone since the Renaissance (whitewash, paint), the significant soiling due to the use of fireplaces and coal stoves, and the observation of numerous cracked or even missing elements, now require in-depth restoration.
Catherine Sidrot, the current owner, would like to turn this unique place into a working and exhibition space oriented towards photography." Visits possible outside the Heritage Days.
Contact: Tourist Office
*References - Charles Souhaut 1883 - Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 and since then all publications relating to Ligier Richier
During the restoration work begun in 2012, the discovery of walled doorways with the adjoining house (n°5 rue Haute des Fosses) tends to establish that the current house known as Ligier Richier was probably the "beautiful room" of a larger residence during the Renaissance period.
Around 1750, the abbot Dom Calmet, who was staying in Saint-Mihiel, reported that there was a magnificent fireplace inside, the large mantle of which (classified as a historical monument) can now be seen in the town hall of Han sur Meuse.
Today, the ceiling (approx. 50 m²) remains, made up of massive oak beams and trilobed joists, pendant caissons and terracotta struts made from moulds.
The fleuron decoration of the caissons is inspired by Roman Antiquity: a stylistic comparison can be made with the decorative motifs of the centurion's breastplate and the tomb of the Sepulchre (Saint Etienne Church in Saint-Mihiel).
This early 16th century terracotta ceiling is the only example known to date in Europe. It is attributed to Ligier Richier although there is no formal proof. It is one of the rare testimonies of the decoration of a beautiful civil residence of the Renaissance, the testimonies that have come down to us being mainly those of noble or ecclesiastical buildings.
The ceiling was dismantled in 1918, transferred to Metz and then to the Louvre, and reassembled in 1921, when it was classified as a Historic Monument.
The various treatments it has undergone since the Renaissance (whitewash, paint), the significant soiling due to the use of fireplaces and coal stoves, and the observation of numerous cracked or even missing elements, now require in-depth restoration.
Catherine Sidrot, the current owner, would like to turn this unique place into a working and exhibition space oriented towards photography." Visits possible outside the Heritage Days.
Contact: Tourist Office
*References - Charles Souhaut 1883 - Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 and since then all publications relating to Ligier Richier
Néerlandais (Pays-Bas) Het huis Ligier Richier, gelegen aan 7 rue Haute des Fosses in Saint-Mihiel, wordt beschouwd als het huis dat de Sammelse beeldhouwer Ligier Richier in 1535 kocht. Hij woonde daar tot 1564, toen hij naar Genève* vertrok.
Tijdens de in 2012 begonnen restauratiewerkzaamheden lijkt de ontdekking van ommuurde deuropeningen met het aangrenzende huis (nr. 5 rue Haute des Fosses) aan te tonen dat het huidige huis dat bekend staat als Ligier Richier waarschijnlijk de "mooie kamer" was van een grotere woning tijdens de Renaissance.
Rond 1750 meldde de abt Dom Calmet, die in Saint-Mihiel verbleef, dat er binnen een prachtige schouw was, waarvan de grote schouw (geklasseerd als M.H.) nu te zien is in het gemeentehuis van Han sur Meuse.
Vandaag blijft het plafond (ca. 50 m²) over, bestaande uit massieve eiken balken en trilobale balken, hangende caissons en terracotta stutten van mallen.
De fleuronversiering van de caissons is geïnspireerd op de Romeinse Oudheid: een stilistische vergelijking kan worden gemaakt met de decoratieve motieven van het borstschild van de centurio en het graf van het Graf (Sint-Etienne-kerk in Sint-Michiel).
Dit terracotta plafond uit het begin van de 16e eeuw is het enige bekende voorbeeld in Europa. Het wordt toegeschreven aan Ligier Richier, hoewel er geen formeel bewijs is. Het is een van de weinige voorbeelden van de decoratie van een mooie burgerwoning uit de Renaissance; de overgebleven voorbeelden zijn voornamelijk die van adellijke of kerkelijke gebouwen.
Het plafond werd gedemonteerd in 1918, overgebracht naar Metz en vervolgens naar het Louvre, en weer gemonteerd in 1921, toen het werd geclassificeerd als Historisch Monument.
De verschillende behandelingen die het sinds de Renaissance heeft ondergaan (witkalk, verf), de zware vervuiling door het gebruik van open haarden en kolenkachels en de constatering dat veel elementen gebarsten zijn of zelfs ontbreken, zouden nu een grondige restauratie vereisen.
Catherine Sidrot, de huidige eigenaar, wil van deze unieke plek een werk- en expositieruimte maken die gericht is op fotografie Bezoeken mogelijk buiten de Open Monumentendagen.
Contact: Toeristenbureau
*Referenties - Charles Souhaut 1883 - Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 en sindsdien alle publicaties over Ligier Richier
Tijdens de in 2012 begonnen restauratiewerkzaamheden lijkt de ontdekking van ommuurde deuropeningen met het aangrenzende huis (nr. 5 rue Haute des Fosses) aan te tonen dat het huidige huis dat bekend staat als Ligier Richier waarschijnlijk de "mooie kamer" was van een grotere woning tijdens de Renaissance.
Rond 1750 meldde de abt Dom Calmet, die in Saint-Mihiel verbleef, dat er binnen een prachtige schouw was, waarvan de grote schouw (geklasseerd als M.H.) nu te zien is in het gemeentehuis van Han sur Meuse.
Vandaag blijft het plafond (ca. 50 m²) over, bestaande uit massieve eiken balken en trilobale balken, hangende caissons en terracotta stutten van mallen.
De fleuronversiering van de caissons is geïnspireerd op de Romeinse Oudheid: een stilistische vergelijking kan worden gemaakt met de decoratieve motieven van het borstschild van de centurio en het graf van het Graf (Sint-Etienne-kerk in Sint-Michiel).
Dit terracotta plafond uit het begin van de 16e eeuw is het enige bekende voorbeeld in Europa. Het wordt toegeschreven aan Ligier Richier, hoewel er geen formeel bewijs is. Het is een van de weinige voorbeelden van de decoratie van een mooie burgerwoning uit de Renaissance; de overgebleven voorbeelden zijn voornamelijk die van adellijke of kerkelijke gebouwen.
Het plafond werd gedemonteerd in 1918, overgebracht naar Metz en vervolgens naar het Louvre, en weer gemonteerd in 1921, toen het werd geclassificeerd als Historisch Monument.
De verschillende behandelingen die het sinds de Renaissance heeft ondergaan (witkalk, verf), de zware vervuiling door het gebruik van open haarden en kolenkachels en de constatering dat veel elementen gebarsten zijn of zelfs ontbreken, zouden nu een grondige restauratie vereisen.
Catherine Sidrot, de huidige eigenaar, wil van deze unieke plek een werk- en expositieruimte maken die gericht is op fotografie Bezoeken mogelijk buiten de Open Monumentendagen.
Contact: Toeristenbureau
*Referenties - Charles Souhaut 1883 - Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 en sindsdien alle publicaties over Ligier Richier
Allemand (Allemagne) Das Haus Ligier Richier, 7 rue Haute des Fosses in Saint-Mihiel, gilt als das Haus, das der Bildhauer Ligier Richier aus Sammiel 1535 erworben hat. Er lebte dort bis 1564, als er nach Genf zog*.
Bei den 2012 begonnenen Restaurierungsarbeiten wurden Türdurchgänge entdeckt, die mit dem Reihenhaus (Nr. 5, rue Haute des Fosses) vermauert waren, was darauf hindeutet, dass das heutige Haus Ligier Richier wahrscheinlich das "schöne Zimmer" eines größeren Hauses aus der Zeit der Renaissance war.
Um 1750 berichtete der Abt Dom Calmet, der sich in Saint-Mihiel aufhielt, dass sich im Inneren des Hauses ein prächtiger Kamin befand, dessen großer Mantel (als M.H. klassifiziert) heute im Rathaus von Han sur Meuse zu sehen ist.
Heute ist noch die Decke (ca. 50 m²) erhalten, die aus massiven Balken und dreilappigen Eichenbalken sowie aus Terrakotta-Kästen mit Anhängern und Streben besteht, die aus Formen hergestellt wurden.
Das Fleuronsdekor der Kassetten ist von der römischen Antike inspiriert: Eine stilistische Annäherung an die Dekorationsmotive des Zenturionpanzers und des Grabes der Grabeskirche (Eglise Saint Etienne in Saint-Mihiel) ist möglich.
Diese Terrakottadecke aus dem frühen 16. Jahrhundert ist das einzige bislang in Europa dokumentierte Beispiel. Sie wird Ligier Richier zugeschrieben, obwohl es keinen formalen Beweis dafür gibt. Es ist eines der seltenen Zeugnisse für die Dekoration eines schönen bürgerlichen Hauses aus der Renaissance, da die überlieferten Zeugnisse hauptsächlich von adligen oder kirchlichen Gebäuden stammen.
Die Decke wurde 1918 demontiert, nach Metz und dann in den Louvre gebracht und 1921, als sie als historisches Monument eingestuft wurde, wieder montiert.
Die verschiedenen Behandlungen, denen sie seit der Renaissance unterzogen wurde (Tünche, Anstriche), die starke Verschmutzung durch die Verwendung von Kaminen und Kohleöfen sowie die Feststellung, dass zahlreiche Elemente gerissen sind oder sogar fehlen, würden heute eine gründliche Restaurierung erfordern.
Catherine Sidrot, die derzeitige Besitzerin, möchte aus diesem einzigartigen Ort einen Arbeits- und Ausstellungsraum machen, der auf die Fotografie ausgerichtet ist." Besichtigungen sind auch außerhalb der Tage des Kulturerbes möglich.
Kontakt: Fremdenverkehrsamt
*Referenzen - Charles Souhaut 1883 ? Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 und seither alle Veröffentlichungen zu Ligier Richier
Bei den 2012 begonnenen Restaurierungsarbeiten wurden Türdurchgänge entdeckt, die mit dem Reihenhaus (Nr. 5, rue Haute des Fosses) vermauert waren, was darauf hindeutet, dass das heutige Haus Ligier Richier wahrscheinlich das "schöne Zimmer" eines größeren Hauses aus der Zeit der Renaissance war.
Um 1750 berichtete der Abt Dom Calmet, der sich in Saint-Mihiel aufhielt, dass sich im Inneren des Hauses ein prächtiger Kamin befand, dessen großer Mantel (als M.H. klassifiziert) heute im Rathaus von Han sur Meuse zu sehen ist.
Heute ist noch die Decke (ca. 50 m²) erhalten, die aus massiven Balken und dreilappigen Eichenbalken sowie aus Terrakotta-Kästen mit Anhängern und Streben besteht, die aus Formen hergestellt wurden.
Das Fleuronsdekor der Kassetten ist von der römischen Antike inspiriert: Eine stilistische Annäherung an die Dekorationsmotive des Zenturionpanzers und des Grabes der Grabeskirche (Eglise Saint Etienne in Saint-Mihiel) ist möglich.
Diese Terrakottadecke aus dem frühen 16. Jahrhundert ist das einzige bislang in Europa dokumentierte Beispiel. Sie wird Ligier Richier zugeschrieben, obwohl es keinen formalen Beweis dafür gibt. Es ist eines der seltenen Zeugnisse für die Dekoration eines schönen bürgerlichen Hauses aus der Renaissance, da die überlieferten Zeugnisse hauptsächlich von adligen oder kirchlichen Gebäuden stammen.
Die Decke wurde 1918 demontiert, nach Metz und dann in den Louvre gebracht und 1921, als sie als historisches Monument eingestuft wurde, wieder montiert.
Die verschiedenen Behandlungen, denen sie seit der Renaissance unterzogen wurde (Tünche, Anstriche), die starke Verschmutzung durch die Verwendung von Kaminen und Kohleöfen sowie die Feststellung, dass zahlreiche Elemente gerissen sind oder sogar fehlen, würden heute eine gründliche Restaurierung erfordern.
Catherine Sidrot, die derzeitige Besitzerin, möchte aus diesem einzigartigen Ort einen Arbeits- und Ausstellungsraum machen, der auf die Fotografie ausgerichtet ist." Besichtigungen sind auch außerhalb der Tage des Kulturerbes möglich.
Kontakt: Fremdenverkehrsamt
*Referenzen - Charles Souhaut 1883 ? Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 und seither alle Veröffentlichungen zu Ligier Richier
Italien (Italie) La Casa Ligier Richier, situata al 7 di rue Haute des Fosses a Saint-Mihiel, è considerata la casa acquistata dallo scultore samminiatese Ligier Richier nel 1535. Visse lì fino al 1564, quando partì per Ginevra*.
Durante i lavori di restauro iniziati nel 2012, la scoperta di porte murate con la casa adiacente (n. 5 rue Haute des Fosses) suggerisce che l'attuale casa conosciuta come casa Ligier Richier era probabilmente la "belle pièce" di una residenza più grande in epoca rinascimentale.
Intorno al 1750, l'abate Dom Calmet, che soggiornava a Saint-Mihiel, riferì che all'interno si trovava un magnifico camino, la cui grande mensola (classificata come M.H.) è oggi visibile nel municipio di Han sur Meuse.
Oggi rimane il soffitto (circa 50 m²), costituito da massicce travi di quercia e travetti trilobati, con cassette pendenti e puntoni in terracotta ricavati da stampi.
La decorazione a pulviscolo dei cassoni si ispira all'antichità romana: un confronto stilistico può essere fatto con i motivi decorativi della corazza del centurione e della tomba del Sepolcro (chiesa di Saint Etienne a Saint-Mihiel).
Questo soffitto in terracotta dell'inizio del XVI secolo è l'unico esempio conosciuto in Europa. È attribuito a Ligier Richier, anche se non esiste una prova formale. È uno dei pochi esempi di decorazione di una bella residenza civile rinascimentale, dato che gli esempi superstiti sono principalmente quelli di edifici nobiliari o ecclesiastici.
Il soffitto fu smontato nel 1918, trasferito a Metz e poi al Louvre, e rimontato nel 1921, quando fu classificato come monumento storico.
I vari trattamenti subiti dal Rinascimento in poi (imbiancature, verniciature), il forte imbrattamento dovuto all'uso di caminetti e stufe a carbone e la constatazione che molti elementi sono fessurati o addirittura mancanti, richiederebbero oggi un restauro approfondito.
Catherine Sidrot, l'attuale proprietaria, vorrebbe trasformare questo luogo unico in uno spazio di lavoro e di esposizione incentrato sulla fotografia Possibilità di visite al di fuori delle Giornate del Patrimonio.
Contatto: Ufficio del turismo
*Riferimenti - Charles Souhaut 1883 ? Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 e da allora tutte le pubblicazioni relative a Ligier Richier
Durante i lavori di restauro iniziati nel 2012, la scoperta di porte murate con la casa adiacente (n. 5 rue Haute des Fosses) suggerisce che l'attuale casa conosciuta come casa Ligier Richier era probabilmente la "belle pièce" di una residenza più grande in epoca rinascimentale.
Intorno al 1750, l'abate Dom Calmet, che soggiornava a Saint-Mihiel, riferì che all'interno si trovava un magnifico camino, la cui grande mensola (classificata come M.H.) è oggi visibile nel municipio di Han sur Meuse.
Oggi rimane il soffitto (circa 50 m²), costituito da massicce travi di quercia e travetti trilobati, con cassette pendenti e puntoni in terracotta ricavati da stampi.
La decorazione a pulviscolo dei cassoni si ispira all'antichità romana: un confronto stilistico può essere fatto con i motivi decorativi della corazza del centurione e della tomba del Sepolcro (chiesa di Saint Etienne a Saint-Mihiel).
Questo soffitto in terracotta dell'inizio del XVI secolo è l'unico esempio conosciuto in Europa. È attribuito a Ligier Richier, anche se non esiste una prova formale. È uno dei pochi esempi di decorazione di una bella residenza civile rinascimentale, dato che gli esempi superstiti sono principalmente quelli di edifici nobiliari o ecclesiastici.
Il soffitto fu smontato nel 1918, trasferito a Metz e poi al Louvre, e rimontato nel 1921, quando fu classificato come monumento storico.
I vari trattamenti subiti dal Rinascimento in poi (imbiancature, verniciature), il forte imbrattamento dovuto all'uso di caminetti e stufe a carbone e la constatazione che molti elementi sono fessurati o addirittura mancanti, richiederebbero oggi un restauro approfondito.
Catherine Sidrot, l'attuale proprietaria, vorrebbe trasformare questo luogo unico in uno spazio di lavoro e di esposizione incentrato sulla fotografia Possibilità di visite al di fuori delle Giornate del Patrimonio.
Contatto: Ufficio del turismo
*Riferimenti - Charles Souhaut 1883 ? Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 e da allora tutte le pubblicazioni relative a Ligier Richier
Espagnol La casa de Ligier Richier, situada en el número 7 de la calle Haute des Fosses de Saint-Mihiel, se considera la casa adquirida por el escultor samoleño Ligier Richier en 1535. Allí vivió hasta 1564, cuando partió hacia Ginebra*.
Durante los trabajos de restauración iniciados en 2012, el descubrimiento de portales amurallados con la casa contigua (nº 5 de la calle Haute des Fosses) sugiere que la actual casa conocida como casa Ligier Richier fue probablemente la "belle pièce" de una residencia más grande durante el periodo renacentista.
Alrededor de 1750, el abad Dom Calmet, que se encontraba en Saint-Mihiel, informó de que había una magnífica chimenea en su interior, cuya gran repisa (clasificada como M.H.) puede verse ahora en el ayuntamiento de Han sur Meuse.
En la actualidad, se conserva el techo (de unos 50 m²), formado por vigas macizas de roble y viguetas trilobuladas, con cajas colgantes y puntales de terracota hechos con moldes.
La decoración de florones de los cajones se inspira en la Antigüedad romana: se puede hacer una comparación estilística con los motivos decorativos del peto del centurión y de la tumba del Sepulcro (iglesia de Saint Etienne en Saint-Mihiel).
Este techo de terracota de principios del siglo XVI es el único ejemplo conocido hasta la fecha en Europa. Se atribuye a Ligier Richier aunque no hay ninguna prueba formal. Es uno de los pocos ejemplos de decoración de una buena residencia civil renacentista, ya que los ejemplos que se conservan son principalmente los de edificios nobles o eclesiásticos.
El techo fue desmontado en 1918, trasladado a Metz y luego al Louvre, y vuelto a montar en 1921, cuando fue clasificado como Monumento Histórico.
Los diversos tratamientos que ha sufrido desde el Renacimiento (encalado, pintura), la fuerte suciedad causada por el uso de chimeneas y estufas de carbón, y la observación de que muchos elementos están agrietados o incluso desaparecidos, requerirían ahora una restauración en profundidad.
Catherine Sidrot, la actual propietaria, quiere convertir este lugar único en un espacio de trabajo y exposición centrado en la fotografía Posibilidad de visitas fuera de las Jornadas de Patrimonio.
Contacto: Oficina de Turismo
*Referencias - Charles Souhaut 1883 ? Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 y desde entonces todas las publicaciones relacionadas con Ligier Richier
Durante los trabajos de restauración iniciados en 2012, el descubrimiento de portales amurallados con la casa contigua (nº 5 de la calle Haute des Fosses) sugiere que la actual casa conocida como casa Ligier Richier fue probablemente la "belle pièce" de una residencia más grande durante el periodo renacentista.
Alrededor de 1750, el abad Dom Calmet, que se encontraba en Saint-Mihiel, informó de que había una magnífica chimenea en su interior, cuya gran repisa (clasificada como M.H.) puede verse ahora en el ayuntamiento de Han sur Meuse.
En la actualidad, se conserva el techo (de unos 50 m²), formado por vigas macizas de roble y viguetas trilobuladas, con cajas colgantes y puntales de terracota hechos con moldes.
La decoración de florones de los cajones se inspira en la Antigüedad romana: se puede hacer una comparación estilística con los motivos decorativos del peto del centurión y de la tumba del Sepulcro (iglesia de Saint Etienne en Saint-Mihiel).
Este techo de terracota de principios del siglo XVI es el único ejemplo conocido hasta la fecha en Europa. Se atribuye a Ligier Richier aunque no hay ninguna prueba formal. Es uno de los pocos ejemplos de decoración de una buena residencia civil renacentista, ya que los ejemplos que se conservan son principalmente los de edificios nobles o eclesiásticos.
El techo fue desmontado en 1918, trasladado a Metz y luego al Louvre, y vuelto a montar en 1921, cuando fue clasificado como Monumento Histórico.
Los diversos tratamientos que ha sufrido desde el Renacimiento (encalado, pintura), la fuerte suciedad causada por el uso de chimeneas y estufas de carbón, y la observación de que muchos elementos están agrietados o incluso desaparecidos, requerirían ahora una restauración en profundidad.
Catherine Sidrot, la actual propietaria, quiere convertir este lugar único en un espacio de trabajo y exposición centrado en la fotografía Posibilidad de visitas fuera de las Jornadas de Patrimonio.
Contacto: Oficina de Turismo
*Referencias - Charles Souhaut 1883 ? Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 y desde entonces todas las publicaciones relacionadas con Ligier Richier
Français (France) La Maison Ligier Richier, située 7 rue Haute des Fosses à Saint-Mihiel est considérée comme celle acquise par le sculpteur sammiellois Ligier Richier en 1535. Il y vivra jusqu'en 1564, date de son départ à Genève*.
Lors des travaux de restauration entamés en 2012, la découverte de passages de portes murés avec la maison mitoyenne (n°5 rue Haute des Fosses) tend à établir que l’actuelle maison dite Ligier Richier était vraisemblablement la « belle pièce » d’une demeure plus vaste à l’époque de la Renaissance.
Vers 1750 l'abbé Dom Calmet en séjour à Saint-Mihiel rapporte qu'à l'intérieur s’y trouvait une magnifique cheminée, le grand manteau de celle-ci (classée M.H) est maintenant visible à la mairie de Han sur Meuse.
Aujourd'hui subsiste le plafond (env. 50 m²) constitué de poutres massives et solives trilobées en chêne, de caissons à pendentifs et d'entretoises en terre cuite réalisés à partir de moules.
Le décor à fleurons des caissons est inspiré de l'Antiquité romaine : un rapprochement stylistique peut être fait avec les motifs de décoration de la cuirasse du centurion et du tombeau du Sépulcre (Eglise Saint Etienne à Saint-Mihiel).
Ce plafond en terre cuite du début XVIe siècle est le seul exemple recensé à ce jour en Europe. Il est attribué à Ligier Richier bien qu'il n'y ait aucune preuve formelle. C'est un des rares témoignages de la décoration d'une belle demeure civile de la Renaissance, les témoignages parvenus jusqu'à nous étant essentiellement ceux des bâtiments nobles ou ecclésiaux.
Le plafond a subi l'épreuve d'un démontage en 1918, d'un transfert à Metz puis au Louvre, et d'un remontage en 1921, date de son classement Monuments Historiques.
Les différents traitements qui lui ont été infligés depuis l’époque de la Renaissance (badigeons, peintures), l’encrassement important dû à l’utilisation des cheminées et des poêles à charbon, le constat de nombreux éléments fissurés voire manquants, nécessiteraient aujourd’hui une restauration approfondie.
De ce lieu unique Catherine Sidrot, l’actuelle propriétaire, souhaite faire un espace de travail et d'exposition orienté vers la photographie." Visites possibles en dehors des Journées du Patrimoine.
Contact : Office de tourisme
*Références - Charles Souhaut 1883 – Paul Denis 1911 - Michel Dumont 1990 et depuis l’ensemble des parutions relatives à Ligier Richier
Lors des travaux de restauration entamés en 2012, la découverte de passages de portes murés avec la maison mitoyenne (n°5 rue Haute des Fosses) tend à établir que l’actuelle maison dite Ligier Richier était vraisemblablement la « belle pièce » d’une demeure plus vaste à l’époque de la Renaissance.
Vers 1750 l'abbé Dom Calmet en séjour à Saint-Mihiel rapporte qu'à l'intérieur s’y trouvait une magnifique cheminée, le grand manteau de celle-ci (classée M.H) est maintenant visible à la mairie de Han sur Meuse.
Aujourd'hui subsiste le plafond (env. 50 m²) constitué de poutres massives et solives trilobées en chêne, de caissons à pendentifs et d'entretoises en terre cuite réalisés à partir de moules.
Le décor à fleurons des caissons est inspiré de l'Antiquité romaine : un rapprochement stylistique peut être fait avec les motifs de décoration de la cuirasse du centurion et du tombeau du Sépulcre (Eglise Saint Etienne à Saint-Mihiel).
Ce plafond en terre cuite du début XVIe siècle est le seul exemple recensé à ce jour en Europe. Il est attribué à Ligier Richier bien qu'il n'y ait aucune preuve formelle. C'est un des rares témoignages de la décoration d'une belle demeure civile de la Renaissance, les témoignages parvenus jusqu'à nous étant essentiellement ceux des bâtiments nobles ou ecclésiaux.
Le plafond a subi l'épreuve d'un démontage en 1918, d'un transfert à Metz puis au Louvre, et d'un remontage en 1921, date de son classement Monuments Historiques.
Les différents traitements qui lui ont été infligés depuis l’époque de la Renaissance (badigeons, peintures), l’encrassement important dû à l’utilisation des cheminées et des poêles à charbon, le constat de nombreux éléments fissurés voire manquants, nécessiteraient aujourd’hui une restauration approfondie.
De ce lieu unique Catherine Sidrot, l’actuelle propriétaire, souhaite faire un espace de travail et d'exposition orienté vers la photographie." Visites possibles en dehors des Journées du Patrimoine.
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